SEXTILE



J’aurais pu attendre le 29 septembre avant de publier ce billet, histoire que cela fasse six mois jour pour jour que le blog sombrait dans le coma, tout comme votre serviteur. Une vague de chaleur et une crise de misanthropie aiguë auront eu raison de moi. Mais il aura fallu d’un concert pour me réveiller de ma torpeur, à moins que ce ne soit l’automne. Allez savoir. 

Lundi 24 septembre au Doggo, histoire de réattaquer en terrain familier. La reprise du service se fait avec un concert de SEXTILE, un groupe américain se définissant comme « Primitive Post Punk », de quoi bien commencer la semaine. 

Le jeune trio composé d’un chanteur, une batteuse et une guitariste/claviériste s’élance dans un show démarrant dans la douceur du punk des années 70 et oscillant à la fois vers du post-punk et de la synthwave des années 80, et allant jusqu’à basculer vers des rythmes lourds et puissants de l’industriel, le tout dans un désordre tel qu’il prend le public à contrepied. 

SEXTILE donne littéralement tout ce qu’il a, à savoir une quinzaine de titre environ soit la totalité de leur fraiche discographie, à savoir deux albums et 2 E.P. Et tout cela présage un chemin prometteur pour ce groupe de 3 ans d’âge. 

 Une reprise des photos de concert tout en douceur par conséquent, avec le regret que l’autorisation de photographier ne portait que sur les deux premiers morceaux du set qui étaient loin de vraiment retranscrire l’énergie crescendo de ce concert. 

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