The KVB
Ce dimanche de Pâques, j'ai été le témoin d'une résurrection. Pas celle du Christ, mais de la Coldwave. Personnifiée par un jeune duo anglais, Nicholas Wood et Kat Day, alias The KVB.
Le miracle a eu lieu dans un espace culturel et de coworking dénommé Le Phare, où je me rendais pour la première fois. Le lieu est convivial et, d'une certaine manière, les murs blancs et la décoration minimaliste se prêtent parfaitement à l'ambiance que laisse présager ce début de soirée.
Les lumières s'éteignent, et un vidéoprojecteur commence à diffuser des images de nuages, d'immeubles et de formes d'une géométrie hypnotisant l'auditoire qui s'avance en silence. Le duo entre en scène, Nicholas à la guitare et au chant, et Kat au synthé.
La révélation tombe sur le public comme une chape de plomb. La Coldwave n'est pas morte, elle a juste évolué et puisé un nouveau souffle dans des influences Shoegaze, une mélodie lancinante, froide et bercée d'une voix grave et ponctuée de riffs distordus jusqu'au larsen assourdissant sera le fil conducteur de cette performance musicale et visuelle cependant très variée.
Les lumières s'éteignent, et un vidéoprojecteur commence à diffuser des images de nuages, d'immeubles et de formes d'une géométrie hypnotisant l'auditoire qui s'avance en silence. Le duo entre en scène, Nicholas à la guitare et au chant, et Kat au synthé.
La révélation tombe sur le public comme une chape de plomb. La Coldwave n'est pas morte, elle a juste évolué et puisé un nouveau souffle dans des influences Shoegaze, une mélodie lancinante, froide et bercée d'une voix grave et ponctuée de riffs distordus jusqu'au larsen assourdissant sera le fil conducteur de cette performance musicale et visuelle cependant très variée.
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